A 66 ans, ses appartements lui rapportent plus de 2,000 euros de rente mensuelle

A 66 ans, ses appartements lui rapportent plus de 2,000 euros de rente mensuelle

Le rêve de devenir rentier reste un objectif tout à fait réalisable. Il faut juste prendre les bonnes décisions, et surtout faire des sacrifices financiers. Voici l’histoire d’un retraité de 66 ans qui perçoit aujourd’hui plus de 2000 € de revenus complémentaires chaque mois.

Comment ce retraité de 66 ans a-t-il réussi à se constituer une rente mensuelle de 2000 € ?

Agé de 66 ans, Michel, un ancien garagiste de Saint-Pierre-lès-Nemours, touche aujourd’hui un complément de revenus de 1 500 à 2 000 € nets par mois. Il découle directement de ses six appartements. Le retraité possède d’ailleurs une résidence principale en plus de ce patrimoine locatif juteux. A l’évidence, c’est un rentier heureux.

De fait, Michel est encore débiteur. Il rembourse chaque mois 2 900 € de crédits. C’est peu par rapport à la rente mensuelle qu’il perçoit, soit 6 600 € bruts (hors charges, impôts et frais d’entretien). Contrairement aux idées reçues, il n’a pas hérité de sa fortune. Il est devenu propriétaire bailleur grâce à ses investissements.

Michel a parcouru un long chemin semé d’embûches pour atteindre ses objectifs d’investissement. Il avait touché ses premiers revenus grâce à l’achat/revente de voitures d’occasion. Une longue carrière professionnelle qui a duré plus de 40 ans. Il avait commencé par l’acquisition d’un petit garage en contractant un crédit à l’âge de 25 ans.

Pour générer des revenus complémentaires, Michel n’a pas hésité une seconde à investir dans la pierre. Son premier investissement date de 1985, un petit immeuble du centre-ville de Saint-Pierre-lès-Nemours. Il était âgé de 28 ans à l’époque. Il avait déboursé 180 000 francs pour finaliser cette acquisition. Des travaux, chiffrés à 240 000 francs, avaient été réalisés. Michel avait ensuite souscrit un prêt de 420 000 francs pour financer son projet. A terme, les trois appartements de l’immeuble avaient généré 6 600 francs de revenus locatifs. Parallèlement, il s’acquittait de 3 000 francs pour rembourser son emprunt chaque mois.

Une histoire inspirante pour les investisseurs immobiliers !

Michel avait poursuivi ses investissements en s’emparant d’un deuxième immeuble de 450 m² à Saint-Pierre-lès-Nemours. Le prix d’acquisition s’élevait à un million de francs. Des travaux chiffrés à 750 000 francs étaient prévus par le nouveau propriétaire. Le bâtiment était ainsi divisé en une dizaine d’appartements à terme.

Malheureusement, le patrimoine immobilier de Michel s’était écroulé à cause de son divorce avec sa femme. L’ancien garagiste était contraint de revendre tous ses biens, et de repartir de zéro. Il avait attendu une vingtaine d’années avant de se relancer dans l’immobilier. En 2016, Michel avait acquis une maison de 300 m² au côté de sa nouvelle compagne. L’immeuble se trouve dans le centre de Saint-Pierre-lès-Nemours.

Pour boucler cette nouvelle acquisition, Michel avait mobilisé toutes ses économies restantes. Il s’était également séparé de son bateau. L’homme d’affaires avait ensuite contracté un nouveau crédit de 250 000 € sur 20 ans. La prochaine acquisition immobilière porte sur un atelier d’artiste situé sur sa propriété (fraîchement rénovée). Pour s’en emparer, l’ancien garagiste souscrit un crédit de 150 000 € sur 20 ans auprès de son banquier. Depuis lors, les achats immobiliers se sont enchainés. De nos jours, Michel est propriétaire de 6 appartements rentables.

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Vincent Cuzon